Tamarod envahit Tahrir
Ou la rébellion place de la libération en Égypte au Caire
Tamarod, la campagne Rebelle
Texte de la pétition
Parce que la sécurité n’a pas été retrouvée à Ce jour … On vous refuse
Parce que le démunis est toujours ignoré… On vous refuse
Parce que nous sommes encore en train de mendier des prêts de l’extérieur… On vous refuse
Parce que aucune justice n’a été portée aux martyrs… On vous refuse
Parce que aucune dignité n’a été préservée ni pour moi, ni pour mon pays… On vous refuse
Parce que l’économie s’est effondrée, et ne dépend que de la mendicité… On vous refuse
Parce que l’Egypte continue de suivre les traces des Etats-Unis… On vous refuseDepuis l’arrivée de Mohamed Mursi au pouvoir, le citoyen moyen a toujours le sentiment que rien n’a été réalisé à ce jour par rapport aux objectifs de la révolution, qui n’étaient tout simplement que de vivre dans la dignité, la liberté, la justice sociale et l’indépendance nationale. Mursi a été un échec total et n’a pas pu réaliser aucun de ces objectifs, la sécurité n’a pas été rétablie et la sécurité sociale non plus, ainsi il a fait preuve évidente qu’il n’est pas apte à la gouvernance d’un pays comme l’Egypte.
_____________________________
Turquie. Nouvelle manifestation, place Taksim à Istanbul
Faits de société samedi 29 juin 2013 Ouest France
Plusieurs milliers de personnes ont une nouvelle fois manifesté samedi soir aux abords de la place Taksim à Istanbul contre le gouvernement et la répression policière exercée depuis plusieurs semaines contre les manifestants.
Rassemblés à l’appel de Solidarité Taksim, la principale coordination de la fronde lancée le 31 mai dernier, les manifestants ont fait face pendant deux heures à un imposant cordon de policiers antiémeute qui leur barrait l’accès du centre de la place, scandant des slogans tels « gouvernement démission » ou « contre le fascisme, tous ensemble ».
Les protestataires se sont dispersés à la nuit tombée sans incident.
______________________________
Brésil-Espagne : la rue continue de gronder en marge de la finale
Publié le 30.06.2013, 18h31 | Mise à jour : 21h25 le Parisien
En parallèle du match Brésil-Espagne, affiche de rêve de la finale de la Coupe des Confédérations, la rue continue d’exprimer son mécontentement social.
Des centaines de contestataires brésiliens rassemblés sur la Place Saens Pena, à 1,5 km du mythique stade Maracana, ont marché en direction du temple du football quelques heures avant le début du match prévu ce dimanche pour minuit, heure française.
«Nous voulons aller jusqu’au Maracana et espérons ne pas être bloqués par la police. Nous sommes contre la privatisation du stade et les expropriations forcées» provoquées par les travaux d’infrastructures du Mondial de football 2014 et des jeux Olympiques 2016, a déclaré Renato Constantino. Il est le porte-parole du Comité populaire de la Coupe, l’un des principaux mouvements qui ont appelé sur les réseaux sociaux à manifester pacifiquement.